De plat en Cimaise
« Le ticket Bras-Soulages confirme une tendance pariant sur le “bien manger au musée”. Comme si les nourritures terrestres et celles de l'esprit prenaient conscience de possibles correspondances. »

Stéphane Davet

Le Café Bras au musée Pierre Soulages ou l’essentiel sublimé
« Michel Bras, le chef triple étoilé de Laguiole, s’est installé dans l’un des cubes en acier Corten du tout nouveau musée Pierre Soulages, à Rodez. L’alchimiste des goûts chez le peintre du noir : plus qu’un hommage réciproque, une évidence. »
http://restaurant.michelin.fr/magazine/toques-co/le-cafe-bras-au-musee-pierre-soulages-ou-lessentiel-sublime

Gautier Battistella

Les Bras entrent au Musée
« Avec le Café Bras, le duo revient à une cuisine simple et démocratique. »

Hadrien Gonzales 

L’âme de Laguiole
« Il poursuit sereinement sa longue quête régressive, un peu comme ces philosophes qui croyaient pouvoir résoudre l’énigme de l’univers par déduction. Au Café Bras, il donne ainsi une nouvelle trempe aux œufs farcis de sa mère et aux œufs à la coque qu'elle lui préparait avec des mouillettes au fromage. »

Julien Bouré

Le musée réserve une autre bonne surprise
« Attenant au grand hall, le café Bras, dernière création du chef étoile Michel Bras, venu à la ville “pour lâcher un peu son fils, à qui il a laissé le restaurant du Suquet à Laguiole”. Ici, retour aux sources, avec des produits simples venus de la montagne. Fouace, pascade, tripous, bourriol ou soufflé au vieux rodez avec herbes folles et fleurs de bourrache... bref, une “outre cuisine” de rien qui transcende un chou braisé en page de poésie. Belle journée... »

Luc Le Chatelier

Par amour de l'Aveyron
« Depuis le 1er avril, le café de ce monument de la gastronomie hexagonale régale les Ruthénois sur le site du nouveau musée Soulages. »

Stéphanie de Ballore

Personnalité forte de l'Aveyron
« Un des amateurs de l’art de Soulages est Michel Bras, chef cuisinier 3 étoiles, personnalité forte de l'Aveyron. Il a ouvert son restaurant au cœur du bâtiment. L’art et la bonne chère, dans les deux cas, tout un art ! »

Sabine Glaubitz